EstelleDenis présente un show de trois heures où téléspectateurs et auditeurs prendront le temps de comprendre, de s’écouter, de sourire en partageant un moment de convivialité. Estelle
Evénementsautour du canal du Midi. Découvrez les animations, courses sportives, événements musicaux ou moments de convivialité qui se tiennent autour du canal du Midi. 4 results. samedi 2 juillet 2022. vendredi 2 septembre 2022.
PourMichael Léonard, l’un des coordinateurs d’Anhée, réunir 98 équipes ne s’est évidemment pas improvisé. «Nous en avions déjà l’expérience de ce genre d’organisation qui a
tE26yU. Au Mexique, durant le mois de décembre, amis et familles se rassemblent très souvent dans des posadas auberges afin de chanter Noël et créer un moment de partage. On se régale alors avec des spécialités culinaires telles que les buñuelos beignets farcis et on se désaltère avec l’atole, une boisson typique du Mexique à base de maïs. Côté décorations, la crèche à une place prépondérante dans le Noël mexicain. Elle reste en général assez longtemps en place jusqu’au moi de Février et s’enrichie d’année en piñata est une autre décoration traditionnelle mexicaine, très colorée. On la confectionne pour les grandes occasions comme les fêtes de fin d’année. Elle a la forme d’une boule sur laquelle on ajoute sept sommets qui représentent les sept péchés capitaux. Elle contient des bonbons et des petits gâteaux et s’accroche au plafond ou sur le sapin. Les enfants, les yeux bandés, s’amusent ensuite à la casser à l’aide d’un bâton, afin de récupérer son contenu. Un menu de Noël épicé ! Un des plats caractéristique du Noël mexicain est la dinde au mole, l’association surprenant de la dinde avec une sauce chocolat piment. Certaines familles préfèreront les Tamalas, sortes de papillotes faites à partir de farine de maïs et farcies avec de la viande ou des fruits. Quoi qu’il en soit, durant la nuit de Noël au Mexique, on consomme beaucoup de friandises et de gâteaux confits. La fête des rois une tradition populaire Concernant les cadeaux de Noël, la coutume veut que ce soient les rois mages qui les apportent le 6 janvier. Les familles mexicaines se réunissent alors pour célébrer l'épiphanie et dégustent ce que l’on appelle une Rosca de Reyes, une brioche en forme de couronne aux fruits confits dans laquelle est cachée une image de Jésus. C’est en quelques sortes leur galette des rois ! Très influencé par la religion catholique, Noël est une fête très populaire qui rassemble les familles. C’est dans un esprit de partage et de convivialité que les mexicains fêtent la naissance de Jésus.
Le plaisir de raconter un voyage, une aventure, une rencontre. Une contribution de Mel, parce que Yolande valait mieux qu’un tipi… » Contribution proposée par Mel suite à l’appel Faites mes Devoirs ! Québec Nous n’avons pas mis longtemps pour trouver la destination de notre voyage de noces. On n’aime pas la plage le sable ça gratte, on n’aime pas la chaleur, on n’aime pas les touristes qui aiment la plage et la chaleur. Ça réduisait donc pas mal le secteur géographique. On voulait prendre un avion, découvrir un pays historiquement intéressant, le choix s’est porté sur le Québec… évidemment en plein mois d’août, en pleine célébration des 400 ans de Québec, le choix s’est aussi porté sur une agence et son circuit découverte avec réservation de l’hébergement à l’avance un choix dont nous nous sommes félicité chaque soir. La formule proposait des hébergements variés, allant du gîte à l’hôtel 4*, de la pourvoirie à la chambre chez l’habitant, du Novotel au… tipi. On a hésité, le coup du tipi à douze par 5° dehors, ça nous plaisait moyen…. Mais nous sommes joueurs, et on a signé pour le tipi en se disant qu’à deux dans une couverture, on arriverait bien à se réchauffer sur le coup des cinq heures du matin. Je vous passe le Novotel de Montréal… ça commence à devenir intéressant avec l’auberge du Trappeur, à l’entrée du parc de la Mauricie. Petits montagnards, nous ne sommes pas encore trop dépaysés par les rondins, les raquettes à neige géantes et l’hypothétique présence d’ours noirs mangeurs d’homme. C’est pas que ça grouille d’ours dans les Alpes, mais nous on préfère encore les loups, alors méfiance… L’accueil québécois n’est pas une légende, et si on sait éviter les systèmes de fermeture de fenêtre anti-moustiques à la con, on est vite à l’aise chez nos cousins. Convivialité, simplicité et sincérité d’une activité basée sur le tourisme, c’est tout à fait compatible, nous en avons eu la preuve. La France a des progrès à faire, des exemples à suivre. L’affaire se corse pour l’étape suivante. Il faut prévenir de notre arrivée au village par téléphone, celui de l’épicerie de préférence, et on viendra vous chercher ». Le coup de fil passé, nous reprenons la route en suivant les petites flèches… route qui se transforme bientôt en piste sinueuse, dix kilomètres de poussière et de dos d’ânes, pas une âme qui vive, rien que nous et ces petites flèches vers un suspense grandissant. La piste débouche enfin sur un parking de terre, au bord d’un lac. Quinze voitures abandonnées, comme la nôtre recouvertes d’une épaisse poussière, et un silence assourdissant. Face au lac un ponton désert, un banc qui nous attend. On chuchote en débarquant la valise, et on pose pour une drôle de photo, aussi surréaliste que ce lieu. Un bateau qui surgit de nulle part, un grand type en chapeau qui soulève la valise d’un doigt, direction le large puis un étroit passage au milieu des îlots de forêt. La destination ne serait sans doute pas la même sans cette longue approche, cette mise en condition qui nous prépare pour une rencontre hors du commun. De loin c’est un camp de scouts, un village de tentes colorées pour jouer aux indiens comme dans les jardins de notre enfance. De près ça s’organise, prend de l’ampleur et impose le respect. C’est une reconstitution de village amérindien, avec ses lieux de vie, d’échange. On devine des bâtiments, on croit déjà tout comprendre… Sur le ponton, prête à nous accueillir, à nous recueillir comme deux tourtereaux égarés, c’est elle. Une femme hors du commun, qui a transformé ce lieu à vocation touristique comme un havre d’échanges, un outil de communication et d’information sur l’histoire de son peuple, sur sa culture amérindienne. Yolande est une descendante d’un grand chef de la nation huronne-wendat. Elle pétille d’humour, mais porte le lourd fardeau d’une histoire bien triste. Deux noms, deux cultures, une double vie, une volonté de transmettre son héritage culturel au plus grand nombre par son talent Yolande est conteuse, et ce soir elle va nous faire toucher les étoiles… Cet été québécois est le plus pourri de tous les temps, il a plu chaque semaine depuis le printemps, et les tas de neige des réservoirs de stockage de Québec ne sont pas encore fondus. Mais ce soir il fait bon, la première vraie journée d’été, et on s’attarde un peu avant le repas. Préparé par deux cuistos saisonniers, servi par Yolande, nous dînons dans la salle commune qui sent la fumée. Nous sommes une vingtaine environ, touristes de tous bords et de tous horizons, à partager ce repas simple haricots, maïs, poulet. Yolande explique qu’elle milite pour remplacer le poulet par du gibier, plus conforme aux traditions culinaires amérindiennes. Les questions se bousculent, nous réalisons à quel point nos idées et notre image de l’Indien » sont fausses ou mal ajustées. Son rire balaie nos préjugés, et rétablit quelques vérités. Yolande Dehors nous prenons place autour du feu, les flammes dansent dans la nuit et Yolande surgit en costume traditionnel. Une cérémonie de purification par de la fumée de sauge, quelques chants, et la conteuse fait revivre des textes anciens, héritage oral de son peuple. Il n’est pas possible de raconter en détail cette soirée, ce serait la dénaturer… Des étoiles innombrables, une voie lactée presque palpable, un moment très fort de partage avec Yolande, qui nous transmet en toute simplicité des valeurs essentielles. Nous avons chanté, dansé, nous avons ri de nous, de bonheur aussi. Nous avons longtemps repoussé le moment de nous quitter, le grand feu se mourrait alors que dans chaque tipi crépitait déjà un nouveau foyer tous les deux dans notre petit tipi de la tortue, nous avons passé le reste de la nuit à regarder le ciel étoilé avant de nous endormir. Au petit jour nous avons marché dans la forêt, le jour se levait à peine et la nature bourdonnait déjà . Le lac fumait, il nous montrait la voie du départ. J’ai pris le meilleur petit déjeuner de toute ma vie, le sirop d’érable coulait sur les pancakes cuits au feu de bois. Avant de partir, à la boutique, lui a emporté une belle casquette… j’ai raflé le dernier exemplaire d’un recueil de légendes édité par Yolande. Yolande Okia Picard, du clan du Loup, est employée saisonnière à la Seigneurie du Triton. Elle travaille dans des conditions difficiles avec une santé physique diminuée. Au sein de la communauté huronne-wendat, elle tente de réunir les traditions orales des peuples amérindiens, de les sauvegarder en retrouvant les mots et la langue des anciens, de les transmettre à nouveau à l’occasion de conférences. Elle voyage, rencontre parfois des présidents ; elle habite pas très loin de Québec, à Wendake, que nous sommes par la suite allés visiter la communauté wendat semble prospère, derrière le site touristique se cache aussi une belle revanche… Voilà tout ce que je sais d’elle. Son univers, son histoire, son combat pour la survie d’un héritage, j’aimerais tant qu’elle l’écrive, qu’elle le raconte. Ne pas perdre, ne pas oublier. Merci Yolande pour cette rencontre et ce si beau souvenir, au plaisir de te revoir. Mel, pour www.
Hello / Salut, La cuisine a ce bel avantage de pouvoir nous faire voyager sans bouger de chez soi. De nouvelles saveurs, de nouvelles associations, à défaut de voyager en permanence, on peut créer l’exotisme à sa table. Je profite de cet article pour me remémorer des souvenirs de deux ans et demi de vie pleines de découvertes à Montréal, une ville et plus largement un pays où il fait bon vivre et bon manger ! On y découvre une nourriture plus riche et des quantités généreuses. La ville de Montréal compte 1 restaurant pour 374 habitants. Autant vous dire qu’il y a le choix ! Des milliers de fast food, aux restaurants familiaux et les restaurants raffinés, Grecques, Américains, Chinois, Italiens, Thaï… dans ce tourbillon de cultures culinaires, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. Il en demeure néanmoins des spécialités locales à ne pas manquer. Dans cet article, je vous propose un top 10 des spécialités culinaires de plats salés de Montréal et je vous emmène de l’autre côté de l’Atlantique ! Avant de partir, n’oubliez pas de vous équiper des meilleurs livres de voyage sur le Québec Livres Québec La Poutine LE plat traditionnel et mondialement connu la poutine ! Mais alors la poutine, qu’est ce que c’est ?? Alors c’est un plat est constitué de frites molles, de fromage frais en grains qui fait squich squich sous la dent et recouvert d’une sauce brune. Oui oui, c’est bien consistant comme il faut pour survivre à l’hiver Québécois… On peut également y ajouter de la viande bacon, viande hachée, poulet… et des légumes oignons, champignons, petits pois… Bref, c’est tellement écœurant comme disent les Québécois ! PS cette expression est positive. On peut manger de la poutine dans de nombreux restaurants et même en remplacement des frites dans les fast food. Mais pour découvrir la vraie poutine, en bon touristes, il faut se rendre au restaurant la Banquise à Montréal qui sert de la poutine depuis l’apparition du plat dans les années 1980 et ce 24h sur 24. Vous n’en serez pas déçus mais attention aux heures de pointe, il y a beaucoup de monde ! Les Bagels Les bagels c’est une institution à Montréal. Saint-Viateur et Fairmount sont les fabriques historiques et les plus connues, ils en vendent 24h/24 et ils sont délicieux ! Nature, sésame, pavot, romarin… il en existe de multiples variétés. Dans ces maisons, les bagels sont façonnés à la main et ébouillantés dans de l’eau au miel. Il est possible soit d’acheter le bagel tout droit sorti du four en bois ou bien de le prendre préparé en sandwich au fromage frais et au saumon avec pourquoi pas un supplément concombre. Miam ! Le Smoked Meat La viande fumée smoked meat se mange généralement préparée en sandwich avec de la moutarde et accompagnée de salade de chou et de cornichons dans les nombreux restaurants Delicatessen de la ville. C’est un plat d’origine juive où la viande, de la poitrine de bœuf, est recouverte d’épices puis conservée un certain laps temps de 5 jours à plusieurs semaines au réfrigérateur, et enfin cuite lentement par fumage. Schwartz’s est le spécialiste de la viande fumée à Montréal, c’est également le restaurant de Céline Dion. On y mange sur le pouce mais attention il y a toujours beaucoup de monde. Les Hot Dog et les Grilled Cheese En bouffe rapide, rien de mieux qu’un petit hot dog montréalais ou un grilled cheese pris dans un food truck. Le hot dog local est un pain à hot dog, une saucisse steamé ou toasté c’est à dire cuite à la vapeur ou bien grillée, garnie de salade de chou, de moutarde et/ou ketchup et de relish condiment d’une marinade de concombres et poivrons. Le grilled cheese quant à lui est tout simplement un sandwich de deux tranches de pain de mie avec du fromage cheddar fondu, le tout grillé. Tout simple mais tellement bon ! Et c’est encore meilleur au barbecue. De nombreux restaurant en proposent des variantes en y ajoutant du bacon, des oignons, des tomates… Le pâté chinois Ah le fameux pâté chinois ! On en entend beaucoup parler… on se demande bien ce que c’est… et au final il s’agit tout simplement d’un hachis parmentier avec un ingrédient magique du maïs ! L’origine du plat serait encore aujourd’hui un mystère, peut-être qu’il viendrait de la construction du chemin de fer transcontinental durant laquelle les ouvriers, essentiellement asiatiques auraient été nourris uniquement de bœuf haché, de pommes de terre et de maïs ou alors il puiserait son origine de la ville South China dans le Maine aux USA. Quoi qu’il en soit, le pâté chinois a été nommé comme mets national du Québec » par le quotidien le Devoir et c’est un bon plat réconfortant à partager en famille. La tourtière Alors la tourtière, c’est également un bon plat réconfortant ! Servi traditionnellement lors des fêtes de fin d’année, il s’agit d’une tourte constituée de pâte brisée dessous et au-dessus avec à l’intérieur de la viande hachée porc, bœuf et poulet ou gibier ainsi que des pommes de terre et des épices. De nombreuses variantes existent dont la plus connue étant la tourtière du Lac-Saint-Jean dans la région du Saguenay qui est composée de viande et de pommes de terre en cubes. Le Meat Loaf / Pain de Viande Le pain de viande est également un plat populaire qui serait né pour utiliser les restes de viande. Composé donc de viande, de pain de mie, de carottes, d’oignons, d’œufs et une sauce sucré au ketchup, c’est un bon plat familial très facile à réaliser. Je vous propose la recette du pain de viande ici. Le Homard Au Québec, grâce à la pêche fructueuse aux larges de l’est du Canada, c’est le paradis du homard ! Pour notre plus grand bonheur, on en trouve partout et surtout à un prix accessible au restaurant comme en supermarché. Durant la pleine saison, on a même découvert des restaurants “Lobster All you can eat” soit à volonté et aussi des sandwich spécial homard au Mc Donalds et au Subway… Il peut être cuisiné grillé ou bouilli dans de l’eau salé. Puis, soit il est servi comme tel entier à décortiquer avec du citron et du beurre et accompagné de riz, de frites ou de légumes, soit il peut être préparé sous forme de sandwich dans un pain à hot dog avec une salade et de la mayonnaise les “lobster rolls”. Un vrai régal ! Le brunch traditionnel Le brunch canadien est le rendez-vous incontournable du dimanche et puise ses origines dans le célèbre brunch anglais. Saucisses, bacon, fèves au lard, œufs, pain grillé et fruits frais le tout accompagné d’un grand café ou tout autre variante et de jus de fruits sont les basiques du brunch. L’œuf est l’élément central de l’assiette et peut être brouillé, au plat, à la coque, bénédictine… souvent c’est au choix ! Je vous garantis qu’avec un tel plat le dimanche en fin de matinée, vous serez de bonne humeur toute la journée ! Aujourd’hui, il y a également de nombreux restaurants qui revisitent le brunch classique en mélangeant saveurs et cultures. La Cabane à Sucre et le Sirop d’érable Au temps de sucres, au printemps, c’est la grande récolte de l’eau d’érable à partir d’un trou percé dans le tronc de l’arbre, un embout métallique et un seau aujourd’hui la majorité des exploitations sont automatisés. De cette récolte sont nées les cabanes à sucre où l’on fabrique les produits à base d’érable dont le sirop d’érable. Cette période est importante au Québec, très festive et populaire ! En famille ou entre amis, tous les Québecois se rendent dans les cabanes à sucres pour déguster des produits de l’érable réalisés à partir de la récolte. Les cabanes sont souvent rudimentaires, tout de bois avec de grandes tables et de bancs, signes de convivialité. Puis, on nous sert des plats traditionnels et le plus souvent c’est à volonté ! On y retrouve par exemple de l’omelette, du jambon, des fèves au lard, des pommes de terre rissolés, des oreilles de criss soit du lard grillé, des pancakes, des cretons des rillettes le tout cuisiné puis arrosé de sirop d’érable. En dessert, on y découvre la tarte au sucre ! A l’extérieur, on retrouve la tire d’érable. Cette coutume consiste à verser une lignée de sirop d’érable chaude sur la neige puis on l’enroule autour d’un bâton pour en faire un bonbon. Et en numéro 11, je ne pourrais jamais oublier les fameux Pogos découverts en Amérique du Nord ! Une vraie création WTF ! Il s’agit d’une saucisse enrobée dans une pâte frite mais molle car réchauffée au micro-onde et le tout sur un bâton… Je vous laisse imaginer… une invention surprenante mais pas tellement bonne sur le plan gustatif. Pour finir, il m’est impossible de ne pas parler de la bière ! Le Québec est un très gros producteur de bière, il y a bien entendu la bière commerciale Molson, Labbat… mais aussi, ce de quoi je veux vous parler, le phénomène de microbrasseries ! Dieu du ciel, l’Amère à Boire, le Cheval Blanc, Saint Bock… il y a toutes sortes de bières artisanales à Montréal et dans quasi toutes les villes de la province. Blanches, blondes, ambrées, noires… chaque bière à sa spécificité et son goût unique. Ces dégustations, c’est toujours de belles découvertes gustatives et de bons moments entre amis à savourer ! Source des photos du collage qui ne m’appartiennent pas les bagels, la tourtière, le paté chinois, le brunch, le hot dog.
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Le 09/03/2011 à 1242 MAJ à 1243Jérôme Fernandez - -Pour la première fois depuis leur titre mondial conquis en janvier, les joueurs de l’équipe de France de handball vont disputer un match devant le public français. Ce sera jeudi, à Liévin, contre la Serbie. Jérôme Fernandez, le capitaine tricolore, attend ce moment avec impatience On a envie de briller devant notre public. Ça va être un bon moment de convivialité, de partage, avec tous ces gens qui se sont arraché les places pour venir nous voir. Psychologiquement, on est plutôt euphorique. Faire le spectacle, donner du plaisir aux gens, être disponible au maximum, répondre aux sollicitations médiatiques et populaires. On n’a pas trop souvent l’occasion de jouer sur le sol français. On a vécu un moment fabuleux à Chambéry lorsqu’on est venu avec Kiel. On a été accueilli avec beaucoup d’amour. »
un moment de convivialité québécois autour du maïs