Iln’existe pas une formule spĂ©cifique en Excel pour calculer les pourcentages. Cette opĂ©ration peut cependant ĂȘtre rĂ©alisĂ©e d’une maniĂšre trĂšs facile en utilisant les Cetoutil vous permettra de calculer des sommes et des produits mathĂ©matiques en ligne. Editeur python ; AlgĂšbre. Matrices. Diagonalisation de matrices ; Inversion de matrices; Polynomes. Division euclidienne de polynomes; Factorisation de polynomes; Equations. solveur des Ă©quations diffĂ©rentielles; Solveur des Ă©quations Ă  une inconnue; Nombres premiers. Coursde maths : Suites arithmĂ©tiques. DĂ©finition : Dire qu'une suite u est arithmĂ©tique signifie qu'il existe un nombre r tel que, pour tout entier naturel n, un+1 = un + r. Le nombre r est appelĂ© la raison de la suite (u n ). Autrement dit, on passe d'un terme d'une suite arithmĂ©tique au terme suivant en ajoutant toujours le mĂȘme nombre r. 0(0) Ensuite, accĂ©dez au menu «Formules», sĂ©lectionnez le menu dĂ©roulant «Math & Trig», faites dĂ©filer vers le bas, et cliquez sur la fonction «SOMME». Ici, la fonction MOYENNE.SI permet de calculer la moyenne des chiffres d’affaires dont la rĂ©partition Saisissez le critĂšre (argument critĂšre) ; celui-ci peut ĂȘtre composĂ© d’un nombre, d’une Nousallons utiliser les rĂšgles de l'addition de 2 nombres pour calculer une somme de plusieurs nombres relatifs. 1) Rappel : somme de deux nombres de mĂȘme signe : Lesfonction colSums() et rowSums() permettent de calculer les sommes respectivement, sur les colonnes et les lignes d’une matrice. Les fonction colMeans() et rowMeans() permettent de calculer les moyennes respectivement, sur les colonnes et Rv63zC. MĂ©thodes agiles » Comment calculer le nombre de sprints nĂ©cessaires sur un projet ?Calculer le nombre de sprints nĂ©cessaires pour aller au bout d'un projet est intĂ©ressant pour une question de permet au client d'avoir une date d'atterrissage estimĂ©e pour le projet agile, et Ă  l'Ă©quipe Scrum de savoir quelle charge de travail elle peut absorber sur un allons voir dans cet article comment estimer le nombre de sprints nĂ©cessaires pour rĂ©aliser un projet agile, exemple Ă  l' rappels de notionAvant de commencer, il est nĂ©cessaire de connaĂźtre et comprendre les notions agiles ci-dessous, vu que nous allons nous baser dessus pour la suite de l' un indicateur de mesure qui indique combien de points d'efforts l'Ă©quipe est en capacitĂ© de fournir sur chaque sprint. Elle se mesure Ă  la fin de chaque aller + loin Consultez cet article pour tout savoir sur la vĂ©locitĂ©, pourquoi cet indicateur est important, et comment le pointsLes story points, ou points d'efforts, remplacent les estimations jours-homme dans les mĂ©thodologies de gestion de projet classiques. Ils permettent d'estimer l'effort nĂ©cessaire pour rĂ©aliser un travail donnĂ©, et se mesure le plus souvent via la suite de Fibonacci, ou les tailles de backlogLe sprint backlog est l'ensemble du travail Ă  rĂ©aliser dans le cadre d'un sprint, sĂ©lectionnĂ© par l'Ă©quipe de dĂ©veloppement afin d'atteindre un objectif de sprint of doneLa definition of done, ou dĂ©finition de fini, est une checklist qui indique ce qu'est pour l'Ă©quipe un travail vraiment terminĂ© Ă  100%. Tous les Ă©lĂ©ments du sprint backlog doivent ĂȘtre terminĂ©s selon cette dĂ©finition pour ĂȘtre livrĂ©s aux parties backlogLe product backlog est une liste ordonnĂ©e des Ă©lĂ©ments que l'on aimerait bien dĂ©velopper dans de futurs sprints, priorisĂ©s en fonction de leur valeur. Le product backlog est vivant, il Ă©merge au fil du temps, et Ă©volue estimer le nombre de sprints nĂ©cessaires pour un projet agile ?Calculer le nombre de sprints nĂ©cessaires pour traiter l'intĂ©gralitĂ© du product backlog et rĂ©aliser le produit est relativement simple, Ă  condition de respecter les Ă©tapes suivantes Tous les Ă©lĂ©ments du product backlog doivent ĂȘtre permet d'estimer l'effort nĂ©cessaire pour l'Ă©quipe afin d'aller au bout du backlog de produit. Vous pouvez utiliser pour cela le planning vĂ©locitĂ© de l'Ă©quipe doit ĂȘtre Ă  l'article sur la vĂ©locitĂ© agile pour savoir comment la une division la somme des estimations des Ă©lĂ©ments du product backlog par la vĂ©locitĂ© de l' au chiffre le rĂ©sultat au chiffre supĂ©rieur, et vous obtenez une assez bonne idĂ©e du nombre de sprints nĂ©cessaires pour rĂ©aliser votre Ă  l'esprit qu'il s'agit d'une estimation, pas d'un product backlog peut Ă©voluer Ă  la hausse ou Ă  la baisse entre temps, cette estimation n'est donc pas gravĂ©e dans le Scrum s'engage sur la qualitĂ©, Ă  savoir le respect de la definition of done, et sur le fait de livrer un incrĂ©ment Ă  la fin de chaque sprint. Elle ne s'engage pas sur la quantitĂ© de travail Ă  accomplir, ni sur le nombre de sprints et cas concretImaginons que l'Ă©quipe Scrum a eu une vĂ©locitĂ© de 42, 36, et 41 sur les trois derniers sprints. La vĂ©locitĂ© moyenne est donc de VĂ©locitĂ© moyenne = 42 + 36 + 41 / 3 = 39,66, soit de dĂ©veloppement est donc en capacitĂ© de fournir l'Ă©quivalent de 40 points d'efforts au cours d'un sprint. Elle peut donc absorber dans son sprint backlog des user stories dont la somme reprĂ©sente 40 story maintenant que la somme des Ă©lĂ©ments dans le product backlog reprĂ©sente 788 points d'efforts. Le nombre de sprints nĂ©cessaires sur ce projet serait donc de Nombre de sprints = 788 / 40 = 19,7, soit 20 sprints une fois l'arrondi la vĂ©locitĂ© actuelle, l'Ă©quipe Scrum aura donc besoin de 20 sprints pour aller au bout du product backlog donne une bonne idĂ©e, mais on peut encore affiner cette estimation en calculant la capacitĂ© d'un effet, on a considĂ©rĂ© dans notre calcul que les sprints Ă©taient Ă©gaux 5 jours ouvrĂ©s, sans jours fĂ©riĂ©s, sans absences dans l'Ă©quipe. Mais dans la rĂ©alitĂ©, il en est tout est l'intĂ©rĂȘt de prĂ©dire le nombre de sprints ?"Je croyais que l'agilitĂ©, c'Ă©tait arrĂȘter de vouloir tout prĂ©voir, et de travailler en itĂ©rations courtes jusqu'Ă  avoir le produit final. Quel est l'intĂ©rĂȘt alors d'un tel calcul ?"Calculer le nombre de sprints nĂ©cessaires pour rĂ©aliser le product backlog est utile notamment pour construire des roadmaps produit qu'on puisse s'en passer, les roadmaps sont souvent attendues par les directions et managers hiĂ©rarchiques qui n'ont pas encore rĂ©ussi Ă  adopter complĂštement l'Ă©tat d'esprit agile. La manipulation de sommes, via le symbole sigma, repose sur un petit nombre de rĂšgles. Cet article a pour objet de les Ă©numĂ©rer et d’en donner des exemples d’utilisation, sans aucune prĂ©tention Ă  l’originalitĂ©. Pour vous entraĂźner Ă  manier correctement cette Ă©criture et les techniques associĂ©es, je vous suggĂšre d’aller jeter un Ɠil aux exercices accessibles depuis cette page. Pour commencer, interrogeons-nous sur l’intĂ©rĂȘt de la notation 1 – Abandon des points de suspension En lisant la formule chacun comprend instantanĂ©ment de quoi il retourne pour calculer cette expression, on doit ajouter les entiers naturels de 1 jusqu’à 10. L’usage des points de suspension ne semble pas constituer, en l’occurrence, un obstacle Ă  la comprĂ©hension. MĂȘme chose pour On devine aisĂ©ment qu’il s’agit de la somme des carrĂ©s des entiers de 1 Ă  25. Mais dans le cas de on ne voit pas, mĂȘme aprĂšs un certain dĂ©lai de rĂ©flexion, ce que cachent les points de suspension. Pourtant, ces nombres n’ont pas Ă©tĂ© choisis au hasard. Ce sont les premiers termes de la suite dĂ©finie par la formule oĂč dĂ©signe la partie entiĂšre par dĂ©faut du rĂ©el En effet et ainsi de suite
On pourrait donc penser que les points de suspension peuvent ĂȘtre utilisĂ©s, Ă  condition qu’il n’existe aucun doute quant Ă  l’identitĂ© de la suite sous-jacente. Mais ce n’est pas aussi simple
 Par exemple, si l’on pose pour tout entier les premiers termes de la suite sont Mais attention Donc, lorsqu’on Ă©crit pourquoi ne s’agirait-il pas, aprĂšs tout, de la somme des neufs premiers termes de la suite ? Ceci montre la nĂ©cessitĂ© d’une notation totalement explicite, qui Ă©limine toute abandonne donc les points de suspension et on adopte la notation 2 – Le symbole ∑ Etant donnĂ©e une liste de nombres rĂ©els ou, plus gĂ©nĂ©ralement, complexes, on note pour dĂ©signer ce qu’on aurait notĂ© jusque lĂ  . Cette formule se lit somme, pour variant de 1 jusqu’à n, de u indice k ». La symbole est l’indice de sommation. Il est essentiel de comprendre que la somme ne dĂ©pend absolument pas de Pour cette raison, ce symbole est qualifiĂ© de muet ». ConcrĂštement, cela signifie qu’on peut le remplacer par n’importe quel autre symbole
 qui ne soit pas dĂ©jĂ  utilisĂ© dans le contexte du calcul ! Par exemple, Ă©tant donnĂ©s et la somme peut ĂȘtre notĂ©e mais certainement pas puisque le symbole serait utilisĂ© pour dĂ©signer deux choses diffĂ©rentes !! Revenons au cas gĂ©nĂ©ral. Au lieu de la notation on peut utiliser l’une des deux variantes suivantes le symbole dĂ©signant l’ensemble des entiers compris entre 1 et n inclusivement. L’écriture se gĂ©nĂ©ralise facilement en oĂč I est un ensemble fini et non vide et oĂč, pour tout dĂ©signe un nombre complexe. Notons que, dans l’écriture rien n’indique la maniĂšre dont les termes sont additionnĂ©s. Mais c’est sans importance, puisque l’addition des nombres complexes est une opĂ©ration commutative et associative. La commutativitĂ© permet de modifier l’ordre des termes sans affecter le total, tandis que l’associativitĂ© dit que les diffĂ©rents parenthĂ©sages possibles sont Ă©quivalents. Une maniĂšre plus aboutie d’exprimer l’équivalence des diffĂ©rents parenthĂ©sages est la l’on partitionne I en sous-ensembles ce qui veut dire que les sont non vides, deux Ă  deux disjoints et que leur union est I, alors formule gĂ©nĂ©rale d’associativitĂ© Nous verrons Ă  la section 7 une consĂ©quence pratique importante de cette formule l’interversion de sommes doubles sur des domaines de sommation rectangulaires ou triangulaires. Ajoutons que, par convention, une somme de nombres complexes indexĂ©e par l’ensemble vide est nulle. Cette convention a le mĂ©rite de maintenir vraie la formule gĂ©nĂ©rale d’associativitĂ©, mĂȘme si certains sous-ensembles sont vides. Passons maintenant aux rĂšgles utilisĂ©es en pratique pour manipuler des sommes. 3 – SĂ©parer / Fusionner L’ordre des termes Ă©tant sans importance pour le calcul d’une somme, on voit que si et sont des nombres complexes quelconques, alors Les parenthĂšses sont recommandĂ©es, pour ne pas dire indispensables ! Par exemple tandis que, par dĂ©faut s’interprĂšte en Mais revenons Ă  la derniĂšre Ă©galitĂ© encadrĂ©e. Lorsqu’on la parcourt de gauche Ă  droite, on dit qu’on sĂ©pare la somme en deux. Et lorsqu’on la parcourt de droite Ă  gauche, on dit qu’on fusionne les deux sommes en une seule. Il est nĂ©cessaire, pour la fusion, que les deux ensembles d’indices coĂŻncident. Si tel n’est pas le cas, on peut Ă©ventuellement s’y ramener en effectuant une rĂ©-indexation dans l’une des deux sommes je ne vous ai pas encore parlĂ© de rĂ©-indexation, mais nous verrons cela un peu plus loin cf. section 5. 4 – DĂ©velopper / Factoriser La formule bien connue de distributivitĂ© se gĂ©nĂ©ralise sans effort simple rĂ©currence pour donner ceci si et sont des nombres complexes, alors Lorsqu’on parcourt cette Ă©galitĂ© de gauche Ă  droite, on dit qu’on met en facteur dans la somme. Et lorsqu’on la parcourt de droite Ă  gauche, on dit qu’on dĂ©veloppe, ou qu’on distribue sur la somme. Et attention Ă  l’erreur du dĂ©butant pour avoir le droit de factoriser par encore faut-il que ce coefficient soit indĂ©pendant de l’indice de sommation. L’exemple qui suit est repris en dĂ©tail dans la vidĂ©o Calcul de Sommes, Episode 1. Si vous connaissez les propriĂ©tĂ©s des coefficients binomiaux, vous savez sans doute que pour tout couple d’entiers vĂ©rifiant Cette relation est appelĂ©e parfois formule du pion ». Un exercice classique consiste Ă  demander le calcul de la somme Mettre en facteur dans cette somme serait monstrueux ! Il n’y a d’ailleurs, sous cette forme, rien Ă  mettre en facteur. Mais en Ă©crivant plutĂŽt on peut factoriser par ce qui conduit Ă  Pour finir, la somme des termes de la Ăšme ligne du triangle de Pascal est Ă©gale Ă  , donc 5 – Changer d’indice Changer d’indice dans ou rĂ©-indexer une somme consiste simplement Ă  en re-numĂ©roter les termes. Par exemple, la somme peut s’écrire mais aussi ou encore Pour passer de la premiĂšre Ă©criture Ă  la seconde, on pose et pour passer de la premiĂšre Ă  la troisiĂšme, on pose Ces exemples sont trĂšs simples on a rĂ©-indexĂ© la somme en dĂ©calant l’ancien indice d’une unitĂ©. On est parfois conduit Ă  effectuer d’autres types de rĂ©-indexation. Par exemple, si l’on considĂšre et qu’on pose on obtient Les changements d’indice du type ou bien oĂč l’entier est fixĂ© sont assez frĂ©quents. D’une maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale, Ă©tant donnĂ©s deux ensembles finis et , si est bijective et si est une famille de nombres complexes indexĂ©e par alors On dit qu’on passe du membre de gauche Ă  celui de droite en posant Voyons un exemple de ce mĂ©canisme, en considĂ©rant un groupe fini et un morphisme de ce groupe vers le groupe des nombres complexes non nuls. Calculons la somme Si est le morphisme constant c’est-Ă -dire pour tout , alors . Et sinon, il existe tel que L’application Ă©tant bijective c’est ce qu’on appelle une translation du groupe , on peut effectuer dans la somme le changement d’indice dĂ©fini par , ce qui donne et donc soit finalement En rĂ©sumĂ© 6 – Sommations tĂ©lescopiques Etant donnĂ©s un entier et des nombres complexes l’expression se simplifie en Cela se comprend en Ă©crivant explicitement les quelques premiers termes et les quelques derniers le calcul qui suit suppose On voit trĂšs bien que les termes se compensent deux Ă  deux, Ă  l’exception de et qui sont les deux “survivants” 
 On dit qu’une telle sommation est “tĂ©lescopique”. Cette appellation fait sans doute rĂ©fĂ©rence Ă  ce qui se passe lorsqu’on replie une lunette tĂ©lescopique cf. figure ci-dessous seules les extrĂ©mitĂ©s restent visibles ! La formule peut ĂȘtre justifiĂ©e proprement de deux façons soit par rĂ©currence sur n,soit en sĂ©parant en deux sommes, puis en rĂ©-indexant l’une d’elles. Les choses deviennent intĂ©ressantes lorsque la sommation n’apparaĂźt pas, au premier coup d’Ɠil, comme Ă©tant tĂ©lescopique 
 Par exemple, si l’on pose pour tout entier On peut astucieusement Ă©crire, pour tout Il est alors clair que Autre exemple, considĂ©rons pour tout En remarquant que, pour tout on voit que Dernier exemple, ajoutons les premiers termes de la suite de Fibonacci. On rappelle que la suite de Fibonacci est dĂ©finie par les relations et Pour calculer explicitement la somme on peut simplement la rĂ©-Ă©crire Cette fois le tĂ©lescopage » se fait, non pas entre un terme et son voisin immĂ©diat, mais plutĂŽt de deux en deux. Le plus simple, pour ne pas se prendre les pieds dans le tapis, consiste Ă  Ă©crire de sorte que soit finalement 7 – Intervertir deux sommes ConsidĂ©rons deux entiers ainsi que nombres complexes , avec et . Posons alors Comme expliquĂ© Ă  la section 2, cette notation a un sens, car peu importe l’ordre dans lequel les termes sont additionnĂ©s et peu importe le parenthĂ©sage utilisĂ©. En particulier, l’ensemble peut ĂȘtre partitionnĂ© en lignes» ou bien en colonnes», comme suggĂ©rĂ© par l’illustration ci-dessous Ceci conduit Ă  la formule suivante, appelĂ©e formule d’interversion pour un domaine de sommation rectangulaire » Le cas d’un domaine de sommation triangulaire, est tout aussi important en exemple, si l’on considĂšre on peut, Ă  nouveau, sommer en lignes» ou bien en colonnes» Et voici la formule correspondante Donnons deux exemples de calcul faisant intervenir les formules et . Exemple 1 Etant donnĂ©s et , on pose Il est connu que Comment obtenir ces formules de façon naturelle » ? Une approche consiste Ă  calculer de deux maniĂšres l’expression D’une part, la sommation est tĂ©lescopique et d’autre part, d’aprĂšs la formule du binĂŽme AprĂšs interversion des sommes le domaine est rectangulaire et mise en facteur du coefficient binomial, on obtient d’oĂč, en confrontant les Ă©galitĂ©s et , la formule de rĂ©currence forte » Si des formules explicites sont connues pour chacune des sommes , , etc 
, , alors cette Ă©galitĂ© permet de calculer . Par exemple, connaissant les formules on obtient en appliquant ce qui prĂ©cĂšde avec c’est-Ă -dire d’oĂč, aprĂšs quelques petits calculs pas bien mĂ©chants Exemple 2 Pour tout entier , on note classiquement le n-Ăšme nombre harmonique » Il existe une foule de choses Ă  savoir au sujet de la suite , mais nous porterons notre attention sur la formule de rĂ©currence suivante Elle se dĂ©montre Ă  l’aide de Avec cette formule , on retrouve la divergence de la suite . En effet, si cette suite convergeait vers un rĂ©el , on aurait d’aprĂšs le lemme de CesĂ ro et donc, en passant Ă  la limite dans , il en rĂ©sulterait que , ce qui est absurde ! Pour un exemple du mĂȘme style, mais plus Ă©laborĂ©, voir le challenge 35 8 – Et pour les produits ? L’analogue du symbole pour reprĂ©senter un produit est le symbole il s’agit de la lettre majuscule grecque pi ». Si sont des nombres rĂ©els ou complexes, leur produit est donc notĂ© Ce symbole se manipule essentiellement de la mĂȘme maniĂšre que le symbole . Par exemple, la formule de fusion / sĂ©paration s’écrit maintenant En particulier, si pour tout , cette Ă©galitĂ© prend la forme l’erreur classique consistant Ă  oublier l’exposant . Tout comme les sommes cf. section 6, les produits peuvent se tĂ©lescoper. La formule de base est oĂč sont tous supposĂ©s non nuls. Voyons pour terminer trois petits exemples de calculs faisant intervenir la notation Exemple 1 Pour tout et pour tout En effet, un produit de puissances d’un mĂȘme nombre est Ă©gal Ă  oĂč dĂ©signe la somme des exposants. Or, nous savons que . Exemple 2 Posons pour tout entier et montrons que Il est facile de voir que, pour tout par exemple en remarquant que l’application est croissante sur . Il s’ensuit que d’oĂč la conclusion. Exemple 3 Cherchons une expression simplifiĂ©e pour En calculant ceci pour de petites valeurs de , on trouve invariablement 1. On conjecture alors que , ce qu’on prouve par rĂ©currence sans trop de problĂšme non dĂ©taillĂ©. Une autre façon d’aborder cette question consiste Ă  Ă©crire comme un produit double un produit de produits puis Ă  intervertir les deux produits tout comme on sait intervertir deux sommes cf. section 7 ce qui prouve bien que . L’égalitĂ© repĂ©rĂ©e par un rĂ©sulte d’une interversion sur un domaine triangulaire. Vos questions ou remarques seront toujours les bienvenues. Vous pouvez laisser un commentaire ci-dessous ou bien passer par le formulaire de contact. Un livre de Wikilivres. Algorithmique impĂ©rative Sommaire Avant-propos ThĂ©orie de l'algorithmique impĂ©rative Qu'est ce qu'un algorithme impĂ©ratif Les types, les opĂ©rateurs et les expressions Les constantes, les variables Les instructions, les blocs d'instructions L'assignation Les exĂ©cutions conditionnelles Les structures itĂ©ratives Les tableaux Les procĂ©dures et les fonctions Le type enregistrement L'algorithme au final vue d'ensemble Exercices Outils de travail La rĂ©daction d'un algorithme Travaux pratiques tester un algorithme sur une machine Guide de traduction Pascal ProblĂšmes posĂ©s, analysĂ©s, rĂ©solus et commentĂ©s Inverser deux variables Un menu de sĂ©lection simple Somme des n premiers entiers PGCD de deux nombres Trier un tableau Rechercher un Ă©lĂ©ment dans un tableau Jeu du Tas de billes Quiz Solutions d'un polynĂŽme Écarts entre les Ă©lĂ©ments d'un tableau Annexes L'algorithmique impĂ©rative, et aprĂšs ? Perspective sur la suite des Ă©vĂšnements... Ressources externes bibliographie, liens... Modifier ce modĂšle ce sommaire ProblĂ©matique[modifier modifier le wikicode] Écrire un algorithme sous forme d'une fonction qui calcule la somme des premiers entiers jusqu'Ă  n inclus, n Ă©tant passĂ© en paramĂštre. Exemple somme5 calculera 1+2+3+4+5 et renverra donc 15 Solution[modifier modifier le wikicode] Voici une premiĂšre rĂ©ponse acceptable Function sommen entier Lexique somme entier * la somme qu'on complĂšte au fur et Ă  mesure et qu'on retournera Ă  la fin * DĂ©but somme=0 POUR i de 0 Ă  n somme=somme+i FP retourner somme Fin Pourquoi partir de 0 et pas 1 ? Cela sert tout simplement Ă  gĂ©rer le cas n=0. Cela ne change rien pour les autres cas puisque en reprenant l'exemple de la problĂ©matique somme5 va calculer 0+1+2+3+4+5, c'est Ă  dire 1+2+3+4+5 =15. Cependant, la boucle peut partir de 1 si elle ne s’exĂ©cute pas pour n=0. Dans ce cas, la somme sera 0 valeur initiale de la variable somme. Remarque[modifier modifier le wikicode] Essayons une analyse un peu plus mathĂ©matique du problĂšme En fait notre fonction calcule pour n . L'Ă©tude des sĂ©ries nous apprend que . On peut en dĂ©duire que la fonction peut s'Ă©crire Function somme_directen entier DĂ©but retourner n*n+1/2 Fin Ce qui d'une part est plus simple mais Ă©galement, comme nous allons le voir, plus efficace. Simplifions le fonctionnement d'une machine au maximum supposons qu'il faut une unitĂ© de temps au processeur pour effectuer un calcul et qu'une opĂ©ration entiĂšre et l'assignation consistent toutes en 1 calcul. Supposons que nous voulions calculer somme1000 Avec somme nous allons effectuer 1000 incrĂ©mentation de i 1000 sommes somme+i 1000 assignation Soit au moins 3000 calculs. Avec somme_directe nous allons effectuer une somme n+1 une multiplication n*n+1 une division par 2 Soit 3 calculs. Conclusion 3000 calculs pour le premier algorithme, 3 calculs pour le second. La diffĂ©rence entre les deux le mathĂ©maticien qui doit se retrouver en chaque algorithmicien. Et dire que de nombreux Ă©tudiants en informatique sont souvent Ă©tonnĂ©s de la prĂ©sence importante de mathĂ©matiques durant leur cursus... pour info Wikilivres propose des cours de mathĂ©matiques... J’ai croisĂ© cette question sur un groupe de discussion et je trouve que c’est un bon algorithme Ă  travailler ensemble. Commencez par chercher Ă  y rĂ©pondre par vous-mĂȘme. ArrĂȘtez lĂ  votre lecture, prenez une feuille et un stylo, et tentez de calculer la somme des entiers pairs et le produit des entiers impairs d’un tableau que l’on vous a donnĂ© en entrĂ©e. Vous avez un algo ? Si c’est trop dur du premier coup, n’hĂ©sitez pas Ă  dĂ©couper le problĂšme en 2, calculer la somme des entiers paires, et ensuite, modifiez l’algo pour calculer aussi le produit des entiers impairs. D’ailleurs, c’est ce que nous allons faire. 😊 Si vous souhaitez apprendre, je vous recommande de lire cet article pas Ă  pas, en tentant Ă  chaque fois de faire l’algorithme par vous-mĂȘme. Autant vous ne pouvez pas deviner comment faire tant que vous ne l’avez pas dĂ©jĂ  vu 1 ou 2 fois. Autant vous ne serez jamais autonome si vous ne cherchez pas au maximum Ă  faire par vous-mĂȘme dĂšs que c’est possible ! Pratiquez, pratiquez, pratiquez ! N’oubliez pas ce vieil adage c’est en forgeant que l’on devient forgeron ! ». Tous les codes indiquĂ©s dans cet article sont en pseudo-code. Je mettrais plus tard un exemple en Java et/ou dans le langage de votre choix. Calcul de la somme des entiers pairs Imaginons que nous ayons un tableau nommĂ© nombresEntiers » dont nous connaissons la taille tailleNombresEntiers ». Comment calculer cette somme ? De maniĂšre logique, sans entrer dans le verbiage informatique, nous devons Consulter chaque nombre un par un Reconnaitre s’il s’agit d’un nombre pair ou d’un nombre impair S’il s’agit d’un nombre pair, je l’ajoute Ă  la somme des nombres pairs que je calcule petit Ă  petit imaginez une feuille oĂč je somme petit Ă  petit tous les nombres pairs que je rencontre. Une fois tous les nombres analysĂ©s, nous avons la somme, il suffit de l’afficher. Pour convertir cela sous forme informatique, voici ce que je dois faire 1 Consulter tous les nombres un par un. Il nous faut itĂ©rer sur le tableau avec une boucle Pour. Notez bien que toutes les boucles peuvent faire l’affaire ! Les boucles Pour, Repeter, Faire
 Repeter sont toutes Ă©quivalentes Ă  quelques diffĂ©rences prĂšs. En tout cas il est toujours possible de passer de l’une Ă  l’autre. Nous utilisons Pour dans ce cas, car c’est la boucle la plus adaptĂ©e au parcours de tableau. Toutes les informations sont rĂ©unies sur la premiĂšre ligne, c’est plus lisible, tout le monde utilise Pour pour un parcours de tableau. Pourint i = 0 ; i< tailleNombresEntiers ; i++ faire // Votre code ici FinPour Pour information, voici les correspondances entre les boucles en pseudo-code français et les boucles en informatique Pour for Repeter while Faire 
 repeter do 
 while 2 Comment reconnaĂźtre un nombre pair ? Pour cela nous allons utiliser l’opĂ©ration modulo. Le modulo nous donne le reste de la division entiĂšre entre deux nombres lien wikipedia. C’est une trĂšs bonne technique pour identifier des cycles. Ici nous cherchons les nombres pairs, donc tous ceux qui sont divisibles par 2. Ces nombres auront donc un reste de 0. Quelques exemples pour vous en convaincre 6 modulo 2 = 0 quand on divise 6 par 2 en division entiĂšre, il reste rien Ă  diviser, car 6 est directement divisible par 2 cela donne un quotient de 3 attention, module est le reste de la division entiĂšre, pas le rĂ©sultat ! C’est uniquement ce qu’il reste, qui n’a pas pu ĂȘtre divisĂ©. 7 modulo 2 = 1 quand je divise 7 par 2 en division entiĂšre il me reste 1, car 7 n’est pas directement divisible par 2 en division entiĂšre. C’est 6 qui l’est. Il reste donc 1 qui correspond Ă  l’écart entre 7 et 6. 12 modulo 2 = 0 17 modulo 2 = 1 Vous pouvez explorer la fonction modulo par vous-mĂȘme en utilisant la calculatrice intĂ©grĂ©e de Google Pour mieux comprendre l’immense intĂ©rĂȘt des modulos pour identifier des cycles en informatique, testez des modulos par 5, par 7, par 8 
 7 modulo 5 = 2 8 modulo 5 = 3 9 modulo 5 = 4 10 modulo 5 = 0 Vous ĂȘtes maintenant capable d’identifier des cycles de 5, ou des cycles de toute autre nature 😊. Nous savons identifier les nombres pairs, il nous reste Ă  le faire dans un test pour conditionner le code permettant de les sommer Si nombresEntiers[i] modulo 2 == 0 Alors // votre code ici FinSi Testez ce code avec un affichage, vous verrez qu’il n’affiche que les nombres pairs. 😊 3 Sommer les nombres pairs Nous savons parcourir le tableau et identifier tous les cas de nombres pairs pour exĂ©cuter du code spĂ©cifique seulement dans ces cas-lĂ . Quel code pouvons-nous mettre pour calculer la somme ? En informatique nous procĂ©dons comme dans la vraie vie. Nous commençons par faire la somme entre les deux premiers, puis entre le rĂ©sultat et le nombre suivant, et ainsi de suite jusqu’au dernier nombre Ă  ajouter. Ensuite, nous faisons cela petit Ă  petit en mĂȘme temps que la boucle parcourt le tableau et identifie des nombres pairs. Ajoutez une variable sommeDesNombresPairs » juste avant la boucle, et l’initialiser Ă  0 . Oui, au dĂ©but, je n’ai sommĂ© aucun nombre pair, donc la somme vaut 0. Ensuite, Ă  chaque tour de boucle, quand j’ai identifiĂ© un nombre pair, je peux simplement faire la somme entre ce nombre et ma variable sommeDesNombresPairs et je stocke le rĂ©sultat dans cette mĂȘme variable. Le code pour faire cela est tout simple sommeDesNombresPairs = nombresEntiers[i] + sommeDesNombresPairs ; Cela donne le code complet suivant Pourint i = 0 ; i< tailleNombresEntiers ; i++ faire Si nombresEntiers[i] modulo 2 == 0 Alors sommeDesNombresPairs = nombresEntiers[i] + sommeDesNombresPairs; FinSi FinPour 4 À la fin, afficher. Il s’agit de la partie la plus simple, tout le travail a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© fait en cumulant petit Ă  petit la somme des entiers pairs dans sommeDesNombresPairs ! 😊 Il suffit maintenant de l’afficher juste aprĂšs la fermeture de la boucle AffichersommeDesNombresPairs ; Calcul du produit des entiers impairs Stoppez lĂ  votre lecture ! Tentez de le faire par vous-mĂȘme, nous avons dĂ©jĂ  vu tout ce qui vous permettait de rĂ©pondre Ă  cette question. Car au final, qu’est-ce qui diffĂ©rencie cette question de la prĂ©cĂ©dente ? Il faut identifier les nombres impairs. Il faut en faire le produit. Vous avez dĂ©jĂ  les briques vous permettant de rĂ©pondre Ă  ces questions. Allez-y, lancez-vous ! Toujours des questions ? Voici un peu d’aide 1 Identifier les nombres impairs Pour cela, il suffit d’ajouter un test portant toujours sur le modulo. Au lieu de tester si le reste de la division entiĂšre par 2 est de 0, vous allez tester s’il est de 1. En effet, tous les nombres impairs auront un reste de division entiĂšre de 1. Voici le code Si nombresEntiers[i] modulo 2 == 1 Alors // le code ici FinSi Notez que vu que les entiers sont soit pairs soit impairs, nous pourrions trĂšs bien ajouter une clause sinon sur le test des cas pairs. 2 Calculer le produit des nombres impairs Surtout ne pas toucher Ă  la variable que nous avions créée. Il faut en faire une autre dans laquelle nous allons progressivement calculer le produit. Appelons la produitDesNombresImpairs. Le calcul, de maniĂšre similaire, va ĂȘtre de faire la multiplication entre le nombre impair trouvĂ© et produitDesNombresImpairs. Ensuite, stocker le rĂ©sultat de cette multiplication dans produitDesNombresImpairs lui-mĂȘme pour en tenir compte par la suite. Voici le pseudo-code produitDesNombresImpairs = nombresEntiers[i] * produitDesNombresImpairs; En conclusion Nous avons vu quelques points rĂ©currents des algorithmes. La fonction modulo pour identifier les cycles et le calcul progressif d’une somme ou d’un produit en utilisant une variable créée pour l’occasion. J’espĂšre que cet article vous aide Ă  dĂ©couvrir la programmation et Ă  comprendre comment crĂ©er un algorithme. N’hĂ©sitez pas Ă  le partager s’il peut ĂȘtre utile Ă  d’autres personnes. Si vous voulez que je mette ce code dans un langage particulier, indiquez-le-moi dans les commentaires. Pour exprimer le ratio entre une valeur totale qui reprĂ©sente un ensemble et une partie de cet ensemble valeur partielle, la formule de base pour le calcul d’un pourcentage est la suivante Pourcentage % = 100 x Valeur partielle / Valeur totale Si la valeur partielle est supĂ©rieure Ă  la valeur totale sur-ensemble, alors le pourcentage sera supĂ©rieur Ă  100%. A partir de cette formule de base les diffĂ©rentes utilisations du calcul de pourcentage sont les suivantes Calculer un pourcentage correspondant au ratio entre deux nombres. Calculer le pourcentage reprĂ©sentĂ© par une valeur calcul de la valeur partielle Retrouver la valeur totale Ă  partir d’une valeur partielle et d’un pourcentage Appliquer un pourcentage cas d’une diminution, remise ou rĂ©duction Appliquer un pourcentage cas d’une augmentation Calculer un taux de variation en % Ces diffĂ©rents cas d’utilisations sont expliquĂ©s en dĂ©tail et complĂ©tĂ©s par des convertisseurs automatiques dans les paragraphes ci-dessous. Vous trouverez Ă©galement dans chaque paragraphe et en fin d’article des exemples et exercices concrets sur les calculs de pourcentage. Calcul de pourcentage Le calcul de pourcentage permet d’exprimer le ratio en % entre deux nombres La valeur totale qui reprĂ©sente un ensemble. La valeur partielle qui reprĂ©sente un sous-ensemble de cet ensemble. Le convertisseur suivant permet de calculer le ratio entre deux nombres modifiez simplement une des valeurs, le pourcentage est calculĂ© automatiquement avec une prĂ©cision de 4 chiffres aprĂšs la virgule. Ce convertisseur est basĂ© sur la formule suivante Pourcentage % = 100 x Valeur partielle / Valeur totale Exemple de calcul de pourcentage Dans une classe de 30 Ă©lĂšves, 12 sont des filles. La proportion de filles dans cette classe est donc de Pourcentage de filles dans la classe = 100 x 12 / 30 = 40 % Calcul de la valeur partielle Le calculateur suivant permet de trouver la valeur partielle correspondant Ă  un pourcentage donnĂ© d’un total. Modifiez simplement la valeur totale ou le pourcentage, la valeur rĂ©sultante est calculĂ©e automatiquement avec une prĂ©cision de 4 chiffres aprĂšs la virgule. Ce convertisseur est basĂ© sur la formule suivante Valeur partielle = Pourcentage x Valeur totale / 100 Exemple d’application Le prix TTC d’un article est de 60 Euros. La taux de TVA Ă©tant de 20%, la taxe correspond donc Ă  Montant TVA = 20 x 60 / 100 = 12 Euros Trouver la valeur totale Le calculateur ci-dessous permet de retrouver la valeur totale Ă  partir d’un pourcentage donnĂ© et de la valeur partielle qu’il reprĂ©sente. Il correspond Ă  un calcul de pourcentage inversĂ©. Modifiez l’un des champs, le rĂ©sultat est calculĂ© automatiquement. La formule permettant de retrouver la valeur totale est la suivante Valeur totale = 100 x Valeur partielle / Pourcentage Exemple d’application La valeur de cette voiture a baissĂ© de 1400 Euros en un an, soit 7%. Le prix payĂ© pour la voiture neuve Ă©tait donc de Prix du neuf = 100 x 1400 / 7 = 20000 Euros Calcul d’une rĂ©duction ou d’une remise Le convertisseur suivant permet de calculer la valeur finale correspondant Ă  une diminution ou remise de x % sur une valeur initiale ou totale. La valeur correspondant Ă  la rĂ©duction est calculĂ©e Ă  partir de la formule suivante Valeur rĂ©duction = Valeur initiale x Pourcentage de rĂ©duction / 100 La formule permettant de retrouver la valeur finale est la suivante Valeur finale = Valeur initiale x 1 – Pourcentage de rĂ©duction / 100 Exemple d’application pour un pourcentage de remise Pendant la pĂ©riode des soldes une remise de 30% est offerte sur l’achat des pantalons. Pour un pantalon valant initialement 70 Euros Montant de la rĂ©duction = 70 x 30 / 100 = 21 Euros Prix aprĂšs rĂ©duction = 70 – 70 x 30 / 100 = 49 Euros Calcul d’une augmentation Le convertisseur suivant permet de calculer la valeur finale correspondant Ă  une augmentation de x % sur une valeur initiale ou totale La valeur correspondant Ă  l’augmentation se calcule Ă  partir de la formule suivante Valeur augmentation= Valeur initiale x Pourcentage d’augmentation / 100 La formule permettant de retrouver la valeur finale est la suivante Valeur finale= Valeur initiale x 1 + Pourcentage d’augmentation / 100 Exemple de calcul d’augmentation en pourcentage Mon loyer, aujourd’hui de 700 Euros, va ĂȘtre augmentĂ© de 3 % Ă  partir du premier janvier prochain Augmentation de loyer = 700 x 3 / 100 = 21 Euros Nouveau montant du loyer = 700 + 700 x 3 / 100 = 721 Euros Calcul de taux variation en % Une variation entre deux nombres peut correspondre Ă  une augmentation ou Ă  une diminution selon que la valeur initiale est supĂ©rieur ou infĂ©rieure Ă  la valeur finale. Le calculateur suivant permet de trouver cette variation. Entrez simplement les valeurs initiale et finale, le taux est calculĂ© automatiquement avec une prĂ©cision de 3 chiffres aprĂšs la virgule. La formule permettant de calculer de taux de variation ou d’évolution en pourcentage est la suivante Taux de variation % = 100 x Valeur finale – Valeur initiale / Valeur initale Si la valeur finale est supĂ©rieure Ă  la valeur initiale, le taux de variation sera positif. Si la valeur finale est infĂ©rieur Ă  a valeur initiale il sera nĂ©gatif. Exemple de calcul de taux de variation Le chiffre d’affaire de cette entreprise est passĂ© de 11 000 Ă  12 100 Euros. Il a donc progressĂ© de Taux de variation = 100 x 12 100 – 11 000 / 11 000 = 10 % Pourcentages exemples et exercices 1 Le vendeur me propose une rĂ©duction de 42 Euros sur un article dont le prix initial est de 140 Euros. Quel est le pourcentage de remise proposĂ© ? Remise = 100 x 42 / 140 = 30 % 2 Mon salaire actuel est de 1400 Euros. Comment calculer son montant aprĂšs une augmentation de 3 % ? Quel est le montant de l’augmentation ? Salaire aprĂšs augmentation = salaire initial + salaire initial x 3 / 100 = 1442 Euros Augmentation = 1442 – 1400 = 42 Euros 3 A l’occasion des soldes, une remise de 40 % est proposĂ©e sur l’achat des vĂȘtements marquĂ©s d’un point rouge. Comment calculer la rĂ©duction correspondant pour un article valant 140 Euros ? Combien faudra t-il payer en caisse pour cet article ? RĂ©duction = 140 x 40 / 100 = 56 Euros Prix en caisse = 140 – rĂ©duction = 84 Euros 4 Mon loyer est de 400 Euros par mois pour un salaire mensuel moyen de 1600 Euros. Quelle est la proportion de mon loyer par rapport Ă  mon salaire ? Proportion loyer = 100 x loyer / salaire = 100 x 400 / 1600 = 25 % 5 Le prix de cet article est de 240 Euros HT. Comment calculer son prix TTC sachant que le taux de TVA est de 20 % ? Prix TTC = Prix HT 1 + 20 / 100 = 288 Euros TTC 6 Mon loyer, actuellement de 400 Euros va passer Ă  410 Euros. Comment calculer l’augmentation en pourcentage ? Augmentation = 100 x 410 – 400 / 400 = % 7 150400 entreprises ont Ă©tĂ© crĂ©es en Ile de France en 2013, dont 33 % par des femmes. Combien d’entreprise ont Ă©tĂ© crĂ©es par les hommes ? Pourcentage des entreprises créées par des hommes = 100 – 33 = 67 % Entreprises créées par des hommes = 67 x Entreprises créées / 100 = 100768 8 243532 vĂ©hicules neufs ont Ă©tĂ© immatriculĂ©s en France en dĂ©cembre 2013. Parmi ces vĂ©hicules 173736 sont des voitures particuliĂšres et 32478 sont des camionnettes, le reste Ă©tant constituĂ© par des camions, cars, remorques, tracteurs routiers ou agricoles, motos, etc source statistiques INSEE. Comment calculer le pourcentage de voitures particuliĂšres neuves immatriculĂ©es sur cette mĂȘme pĂ©riode ? Quelle est la part des camionnettes ? Voitures particuliĂšres 100 x 173736 / 243532 ≈ 71,3 % Camionnettes 100 x 32478 / 243532 ≈ 13,3 % 9 L’objectif de vente pour le mois dernier Ă©tait de 12000 Euros. Comment calculer le taux d’atteinte des objectifs sachant que le chiffre d’affaire s’est Ă©levĂ© Ă  13200 Euros ? Taux = 100 x 13200 / 12000 = 110 %

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